Victimes de pédophilie.

Observation : le taux de suicide est double chez les personnes victimes d’abus sexuels.
Analyse : les abus et la maltraitance provoque une dégradation chimique dans le cerveau irréversible. Chez les enfants ayant subi des abus, les récepteurs des glucocorticoïdes sont moins nombreux. La régulation automatique du stress est alors mise en échec. Le cortisol est libéré constamment et finit par altérer d’autres capacités. Ces dernières altérations ont pour conséquence une baisse de la sérotonine qui normalement protège contre la dépression et l’impulsivité.
Conclusion : la pédophilie est un crime psychologique, physique, et irrémédiablement biologique.

Laisser un commentaire